On est le dimanche 26 mars 2017. Me voilà à une semaine grossomodo de mon départ. Il est donc grand temps que je commence ce blog qui va me suivre durant quelques semaines voire quelques mois. Cela fait déjà quelques temps que je suis en plein préparatif. La préparation physique a commencé déjà cet hiver. Je marchais régulièrement la semaine entre Marche et la maison suivant différentes voies et surtout le week-end grâce aux marches Adeps qui est une bonne façon de se motiver. C'est à chaque fois des beaux parcours variés.
La préparation mentale aurait du commencer début janvier mais l'esprit n'y était pas. Il a fallu la réunion des Amis de Saint-Jacques section Luxembourg à Habay fin janvier pour connaître le véritable déclic.
J'ai rédigé une liste de choses à faire avant de partir, un planning de la progression jour après jour. J'ai scanné page par page les différents topoguides pour les rendre disponibles sur la tablette et ainsi que sur le Cloud. J'ai investi dans un chariot de randonnée afin de soulager mon dos d'une charge trop importante qui pourrait avoir été la cause de mes soucis de santé lors de ma précédente tentative de 2015.
Petite piqûre de rappel. Je m'étais élancé sur les Chemins de Compostelle en avril 2015 mais après trois semaines et 500 kms j'ai du me résoudre à stopper ma progression suite à une infection streptocoques au pied et a la cheville qui m'empêchait encore de marcher. Le dernier jour de marche j'ai terminé en sandales. Plus possible de supporter des chaussures. J'ai même du découper les chaussettes qui pressaient le pied et la cheville enflammés. L'inquiétude était grande de ne pas savoir de quoi je souffrais. Le toubib a Chablis m'a prescrit des antibiotiques et des injections anti-trombose et il m'a interdit de marcher pendant 10 jours . Que faire a Chablis pendant 10 jours? Je vous entend encore me dire:"Mais va goûter le pinard!". C'était pas une bonne idée avec les médicaments. Le soir même je décidais de rentrer le lendemain avec Jack, un compagnon de route anversois qui faisait l'aller-retour pour la naissance de sa petite-fille. Une excellente opportunité de rentrer à la maison dans de bonnes conditions (en voiture de porte à porte) plutôt que de devoir prendre le train ou de bénéficier de l'assurance rapatriement.
Cette année, je croise les doigts, je touche du bois que rien ne m'arrive qui m'empêcherait d'aller jusqu'au bout.
A suivre.
La préparation mentale aurait du commencer début janvier mais l'esprit n'y était pas. Il a fallu la réunion des Amis de Saint-Jacques section Luxembourg à Habay fin janvier pour connaître le véritable déclic.
J'ai rédigé une liste de choses à faire avant de partir, un planning de la progression jour après jour. J'ai scanné page par page les différents topoguides pour les rendre disponibles sur la tablette et ainsi que sur le Cloud. J'ai investi dans un chariot de randonnée afin de soulager mon dos d'une charge trop importante qui pourrait avoir été la cause de mes soucis de santé lors de ma précédente tentative de 2015.
Petite piqûre de rappel. Je m'étais élancé sur les Chemins de Compostelle en avril 2015 mais après trois semaines et 500 kms j'ai du me résoudre à stopper ma progression suite à une infection streptocoques au pied et a la cheville qui m'empêchait encore de marcher. Le dernier jour de marche j'ai terminé en sandales. Plus possible de supporter des chaussures. J'ai même du découper les chaussettes qui pressaient le pied et la cheville enflammés. L'inquiétude était grande de ne pas savoir de quoi je souffrais. Le toubib a Chablis m'a prescrit des antibiotiques et des injections anti-trombose et il m'a interdit de marcher pendant 10 jours . Que faire a Chablis pendant 10 jours? Je vous entend encore me dire:"Mais va goûter le pinard!". C'était pas une bonne idée avec les médicaments. Le soir même je décidais de rentrer le lendemain avec Jack, un compagnon de route anversois qui faisait l'aller-retour pour la naissance de sa petite-fille. Une excellente opportunité de rentrer à la maison dans de bonnes conditions (en voiture de porte à porte) plutôt que de devoir prendre le train ou de bénéficier de l'assurance rapatriement.
Cette année, je croise les doigts, je touche du bois que rien ne m'arrive qui m'empêcherait d'aller jusqu'au bout.
A suivre.
